« Personnellement, je ne me sens pas agressive » mais « pour ceux et pour celles qui sont très opprimés, s’il n’y a pas un minimum d’agressivité, ils périssent ! C’est une espèce d’instinct de conservation. » Les combats et la personnalité de Gisèle Halimi, avocate et militante féministe, sont passés au crible dans un dispositif prétexte, peu après le célèbre procès d'Aix-en-Provence.