Pour les uns, la rue des Rosiers évoque attentats ou falafels, pour les autres c’est un centre névralgique du judaïsme avec ses lieux de cultes et ses commerces de bouche cashers. C’est aussi une rue de cohabitation multiple, ou se mélangent gays, fashionistas, touristes ... La population juive elle-même est hybride, entre Ashkenazes et Sepharades, ultra-religieux et laïques. L...