Le tout premier concerto pour piano de Brahms a également failli être son dernier ! Copieusement critiqué pour cette œuvre de jeunesse incomprise, le compositeur mettra 20 ans à digérer l'affront et à reconsidérer le genre. Un siècle plus tard, la géniale sensibilité du Concerto n°1 en ré mineur explose sous les doigts des musiciens de l'ORTF.